Vacances : le mauvais temps est la pire angoisse des Français

Selon les résultats d’une étude réalisée par le moteur de recherche de voyages momondo.fr, le mauvais temps est la principale crainte des vacanciers.

Que redoutent les Français au moment d’arriver sur leur lieu de vacances ?

Si partir en vacances rend heureux, arriver sur son lieu de villégiature peut parfois s’avérer déceptif : pour 59 % des Français, le mauvais temps est le principal facteur de mécontentement. C’est pourquoi ils sont nombreux à choisir le sud-est de la France l’été. Les Français sont ceux qui craignent le plus le mauvais temps, avec les Portugais (66 %). A contrario, les Danois et les Norvégiens sont ceux qui craignent le moins le mauvais temps (47 %). En général, les Européens du Nord ont moins peur du mauvais temps que les Européens du Sud. Question d’habitude ?

Malgré la bonne réputation de leur pays en matière de gastronomie, les Français sont ceux qui se soucient le moins de la qualité de la nourriture sur place (28 %), derrière les Chinois (34 %) et les Américains (39 %).

Sans aucun doute, 26 % des Français n’aiment pas non plus se sentir arnaqués ou trompés pendant leur séjour, et ce n’est pas Julien Courbet qui dira le contraire. Sur ce plan, les Français sont encore ceux qui ferment la marche, avec les Italiens (37 %), loin derrière les Portugais (64 %) et les Allemands (56 %).

Dépassement de budget et déconnexion interdits

D’un point de vue financier, 19 % des Français trouvent inconfortable de sentir qu’ils dépensent plus que prévu (seulement 12 % des Hollandais n’aiment pas sentir qu’ils dépensent plus que prévu). Ils sont également la même proportion à ne pas se sentir pleinement en vacances s’ils n’ont pas d’accès Internet. Chez nos « voisins », ce sont les Finlandais qui érigent le moins l’absence de connexion en inconfort (9 %).

Parmi les autres facteurs de mécontentement, il y a la vue qui, si elle est mauvaise de là où l’on se trouve (17 %), peut tout gâcher. Des attentes trop élevées (10 %), des recherches pas assez poussées sur la destination (9 %) et un trop grand nombre d’activités prévues (6 %) peuvent également compromettre le séjour.

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