En 2017, trois villes ont attiré les touristes internationaux et enregistré un taux élevé de réservations : Paris, Nice et Lyon. Les formules packagées ont connu, durant cette année, un franc succès. Le groupe Expedia, a analysé les habitudes des voyageurs en matière de réservation d’hôtels en France sur l’année 2017. Les données analysées soulignent que Paris, Lyon et Nice sont les villes les plus fréquentées. Les données soulignent d’ailleurs que pour ces destinations comme pour d’autres, les voyageurs sont de plus en plus adeptes des séjours en formules. Paris oui, mais pas que… ! Paris et sa région confirment leur succès et restent la première destination des touristes internationaux avec une augmentation de plus de 40 % des réservations de nuits d’hôtel en 2017. S’ensuivent Lyon et Nice avec une hausse respective de plus de 30 % et de plus de 20 % de réservations par nuitées. Sur le dernier trimestre de l’année, Strasbourg se démarque des autres destinations françaises et semble avoir séduit les voyageurs. Les hôteliers strasbourgeois ont vu leurs réservations augmenter de près de 20 % sur cette période par rapport à la même période l’année dernière. L’attractivité de Strasbourg en période de fin d’année peut s’expliquer par son fameux marché de Noël qui attire chaque année de plus en plus de visiteurs. Les séjours packagés, la formule gagnante Sur 2017, les demandes de réservations de formules ont continué de croître avec une progression de plus de 50 % par rapport à l’année 2016. Ainsi, Nantes, Toulouse et Lyon sont les villes qui enregistrent la plus forte demande de formules avec respectivement +145 %, +115 % et +110 % (2017 contre 2016). À noter que les séjours packagés sont très populaires auprès des touristes anglo-saxons. En effet, le dernier trimestre 2017 a enregistré une hausse de ce mode de réservation de près de 80 % pour les Américains et de 90 % pour les Anglais par rapport à la même période l’année dernière. Les Français et les Espagnols semblent également apprécier ce format avec une hausse des réservations multipliée par 5 sur cette période ! « Les formules sont un moyen de maximiser les revenus des hôteliers, d’accroître leurs taux de remplissage et de réduire le nombre d’annulations, » déclare Nathalie Walschaerts Director Market Management France. « En réservant les formules à l’avance, les voyageurs ont, pour leur part, davantage de budget pour les loisirs ce qui est une bonne nouvelle pour les hôteliers », conclut Nathalie Walschaerts. Les voyageurs anglo-saxons toujours séduits Expedia révèle que la nationalité qui a réservé le plus de nuitées en 2017 est les Français avec une croissance de la demande de 30 % par rapport à l’année 2016. Pour ce qui est de la clientèle étrangère, ce sont les voyageurs américains et anglais qui ont été les plus attirés par la France avec une augmentation de 40 % et 25 % d’une année sur l’autre. Si l’on regarde avec attention le dernier trimestre de l’année 2017, on remarque que ce sont les voyageurs argentins qui se sont le plus démarqués, avec une augmentation de 550 % d’une année sur l’autre du nombre de visites en
[...]Selon une étude IFOP pour Casamundo, près d’un tiers des Français préfère louer une maison de vacances contre 26 % pour l’hôtel et 11 % pour le camping. Ils sont également près d’un tiers à indiquer qu’ils ne partageront jamais une maison de vacances avec leur belle-famille ! Casamundo.fr s’est associé à l’IFOP* pour découvrir à quoi ressemblent les vacances de rêve des Français ! Quelles sont leurs attentes lorsqu’ils préparent leurs vacances et lorsqu’ils sont sur place ? Quelles sont les activités qu’ils souhaitent faire et les installations dont ils ne peuvent se passer ? Et enfin, sont-ils prêts à partir avec leur belle-famille ? Maisons de vacances, hôtels, camping : où va la préférence des Français ? 32% : c’est le nombre de Français qui préfèrent louer une maison pour leurs vacances. Cette solution remporte l’adhésion des 25-64 ans. En effet, 35% des 25-34 ans et 38% des 50-64 ans choisissent en priorité ce type de logement. C’est également le type de logement favorisé par 36% des familles avec enfant. L’étude montre également que seulement 26% des Français préfèreraient séjourner dans un hôtel qui reste le logement de vacance préféré des seniors (65 ans et plus) à 36%. « Vous pourriez… mais vous n’êtes pas obligés de le faire ». La devise de Casamundo s’applique plutôt bien pour les Français. En effet, s’ils apprécient autant les maisons de vacances, c’est parce qu’elles leur offrent la liberté de faire ce qu’ils veulent, quand ils le veulent. 58% des Français estiment que vacances riment avec exemption d’obligations en termes de planning notamment – et cela quel que soit leur âge ! Ils sont également 16% à les réserver afin de pouvoir partager de bons moments avec leurs proches. Enfin, 36% des 18-34 ans, reconnaissent que réserver une maison de vacances permet d’avoir des installations plus confortables, ou exclusives (piscine privée, cheminée, jardin…) Quelles sont les attentes des Français lorsqu’ils réservent une maison de vacances ? Le bonheur tient à des choses simples. Et les voyageurs Français l’ont bien compris. Lorsqu’ils réservent une maison de vacances, ils rêvent simplement d’avoir un bon lit ! Ils sont en effet 83% à le mettre dans le top 3 de leurs préférences et 47% à le mettre en numéro 1 ! L’étude montre d’ailleurs que plus la population étudiée est âgée, plus ce critère est important. En effet, pour 56% des 65 ans et plus, ce confort est essentiel. Au-delà de bien dormir, les Français souhaitent aussi profiter d’installations dont ils ne bénéficient pas chez eux ou à l’hôtel. Ils sont 57% à vouloir profiter d’un jardin et 53% à vouloir avec une maison de vacances avec piscine. Et qui dit piscine, dit températures extérieures plus chaudes – ou pays de destination plus chaud ! Sans surprise, 31% des Français souhaitent avoir la climatisation dans leur logement de vacances. Enfin, la TV reste un incontournable – même en vacances. Ils sont 30% à ne pas vouloir s’en passer. Quelles activités et quels services pour leurs vacances ? 42% des femmes profiteraient de leur maison
[...]L’activité de l’hôtellerie française a reculé de 1 à 5% au premier trimestre dans toutes les catégories, marquée par une baisse de la fréquentation, selon le baromètre mensuel du cabinet InExtenso-Deloitte. Au mois de mars, e taux d’occupation a reculé de -2,3 % dans le haut de gamme et l’économique à -5,9 % dans le grand luxe. Même Paris n’est « pas épargnée par cette morosité », souligne Deloitte, puisque « la quasi-totalité des indicateurs sont en berne » en mars. Le taux d’occupation a progressé uniquement dans les hôtels de charme, mais ceux-ci ont dû en contrepartie dégrader leurs prix moyens de 7 %. La tenue des élections municipales a pesé sur les résultats du mois de mars, relève Deloitte, tout comme les vacances scolaires des zones A et B qui ont pris fin seulement mi-mars et ont limité les déplacements d’affaires dans la capitale. Marseille, Strasbourg et Montpellier sont les agglomérations qui s’en sortent le mieux, avec des progressions de leur taux d’occupation.
[...]Selon une étude d’Hotels.com, les touristes venus du Moyen-Orient sont les plus dépensiers tandis que les Africains du Sud ont davantage tendance à se serrer la ceinture. D’après cette étude, les touristes venus du Moyen-Orient ont dépensé le plus en France dans les hôtels en 2012, 217 euros par nuitée, soit 13 % de plus qu’en 2011. Ils sont suivis des Japonais, avec 167 euros soit 7 % de plus en un an. Deux pays se disputent la troisième place avec 160 euros dépensés en plus : le Brésil (hausse de 14 %) et les Etats-Unis (+10 %). La cinquième place revient aux Australiens, qui dépensent 154 euros, soit une augmentation de 9 %. Parmi les pays européens, ce sont les touristes venus de Russie et de Norvège qui dépensent le plus, avec 151 euros, soit respectivement une hausse de 11 % et de 10 %. Ils arrivent en 6e place avec les Chinois. Parmi ceux qui ont le moins dépensé par rapport à l’année précédente, on retrouve les visiteurs d’Afrique du Sud, avec 142 euros soit 6 % de moins. Les 15 dernières places du classement sont toutes occupées par des pays européens.
[...]Le début de l’année 2012 aura été difficile pour les hôtels français selon une étude publiée mercredi. Seul Paris a réussi à tirer son épingle du jeu. La fréquentation des hôtels en France toutes catégories confondues a baissé au premier semestre 2012, selon le baromètre du cabinet InExtenso-Deloitte. Crise, météo peu favorable… l’hôtellerie française a souffert. Dans cette morosité, seul Paris a réussi à tirer son épingle du jeu. Durant les six premiers mois l’ensemble des hôtels ont connu une baisse : -0,5 % dans la catégorie grand luxe (5 étoiles et +), -1,1 % dans le haut de gamme, -1,9 % dans le milieu de gamme, -1,8 % dans la catégorie économique et de -3,7 % en super-éco. En revanche, les prix moyens ont progressé de 1,4 % à 3,4 % suivant les catégories. Depuis le début de l’année, les hôtels parisiens a continué d’attirer les hommes d’affaires comme les touristes. « L’hôtellerie française, comme de nombreux prestataires de services, a subi la crise. Paris a surnagé dans cette situation grâce à son statut privilégié sur le marché international », explique le cabinet InExtenso-Deloitte.
[...]L’hôtel Regent’s Garden est le premier hôtel, à Paris, à avoir reçu un écolabel. L’occasion pour nous de faire un point, avec son directeur, M. Condy, sur cet écolabel, sur la place de l’environnement dans l’hôtellerie de luxe et sur les engagements du milieu hôtelier en termes de développement durable. M. Condy, pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ? Sorti de l’école hôtelière de Lausanne en 1972 et après avoir travaillé pour des chaines internationales, je me suis recentré sur les affaires familiales Hotel MASSENA , puis hôtel JARDIN DE CLUNY et REGENT’S GARDEN.En 2006, avec un ami hôtelier, nous avons créé HES société habilitée à donner les outils commerciaux, humains ou financiers aux propriétaires d’hôtels principalement parisiens . Où se situe le Regent’s garden, pouvez vous nous en dire plus sur celui-ci ? L’Hôtel R.G. est un hôtel situé dans le 17ème, à Paris, près de l’avenue des ternes et à 5mn de l’Arc de Triomphe. C’est un hôtel Best Western Premier Ecolabellisé en 2006 et classé 4 étoiles depuis novembre 2008.C’est une demeure historique datant de 1851 et ayant appartenu au médecin personnel de Napoleon III. L’Hôtel Regent’s Garden est le premier hôtel à Paris à avoir reçu un écolabel. Qu’est-ce que signifie ce label ? Qu’apporte-t-il ? Ecolabel est un label eco environnemental européen. Ces objectifs sont : Réduire les consommations d’ énergie Réduire les consommations d’eau Recycler et traiter les déchets Assure la formation du personnel Communiquer ses actions aux clients Il permet de : Mieux se connaître (pré diagnostic) d’apporter des outils d’analyse et d’action permettant des améliorations sensibles (-15% de diminution d’énergie sur 2 ans) et donc des diminutions de coût de fonctionnement Anticiper sur les problèmes à venir et réfléchir sur des actes quotidiens (critérisation des produits fournisseurs, étude globale de rentabilité) Valoriser le travail du personnel Valoriser l’image de l’établissement Quelles sont les principales modifications qu’a subit l’hôtel pour obtenir cet écolabel ? Les modifications ont été de 2 ordres : Tout d’abord matériel avec la mise en place de détecteur de personnes, d’ ampoules basse énergie, de contacteur de fenêtre, de travaux de peinture et d’isolation, etc. Et puis aussi comportemental : Procédure pour chaque service, fiche de contrôle intégrant les eco gestes etc, formation périodique L’environnement, le développement durable, l’écologie … prennent de plus en plus d’importance dans notre quotidien, comment alliez-vous ces notions avec l’hôtellerie de luxe ? Est-ce que luxe et respect de l’environnement ne sont pas deux notions incompatibles ? Le Développement durable part du principe que dans un monde « fini » toutes les ressources sont limitées.La question est la suivante : Est-ce que la notion de plaisir ou d’émotion est uniquement liée à l’abondance. Si nous répondons non, alors nous pouvons décliner des valeurs d’authenticité (matériaux nobles) de sérénité et de bien être (tranquillité, naturel) de respect (qualité de l’accueil et de l’accompagnement du client) de partage. Moins d’avoir et plus d’être permet de retrouver l’intensité de plaisirs simples oubliés. Le luxe pourrait donc être
[...]Après deux ans de restrictions liées à la crise sanitaire, la fréquentation européenne a sensiblement progressé l’été dernier dans les structures d’hébergement de Charente-Maritime. Un redémarrage qui a nourri un bilan touristique redevenu globalement positif pour le territoire. Malgré les prémices d’une inflation galopante, les très fortes chaleurs et la sécheresse qui a conduit de nombreuses communes à prendre des mesures de sobriété, les vacanciers n’ont pas boudé leur plaisir l’été dernier. Après deux années consécutives très chaotiques, perturbées par l’épidémie de la Covid-19 à l’origine de nombreuses restrictions préventives (déplacements limités, gestes barrière), les juillettistes et aoutiens avaient à cœur de retrouver les fraîcheurs et l’ambiance des littoraux Atlantique, libérées des contraintes sanitaires. Fin août, la saison s’annonçait déjà réussie pour le Charente-Maritime : à cette époque, avant même l’arrivée de la troisième vague de visiteurs – ceux de septembre – 33 millions de nuitée avaient déjà été enregistrées sur le territoire » selon un comptage réalisé par Charentes Tourisme. Un bilan provisoire dont la tendance dépassait déjà les résultats de l’exercice 2019, dernière année de référence avant la pandémie. Le secteur du camping à Royan et sur l’ensemble du territoire départemental a largement profité de cette embellie : le président de la Fédération départementale de l’hôtellerie du plein air (FDHPA), fait le constat d’une « très bonne saison », même si les dépenses annexes, comme celle de l’alimentation, ont baissé sous l’effet de la forte hausse des prix. Ainsi, les campings ont essentiellement fait office de dortoir, les touristes hébergés sur place préférant se réapprovisionner en épicerie plutôt de que s’offrir un restaurant, plus cher. Le coût de l’hébergement et du transport a donc contraint les touristes à maîtriser leur budget et à modérer leur consommation au détriment des petits plaisirs. Le retour de la clientèle étrangère Après deux saisons en berne, désertés par les touristes internationaux bloqués ou refroidis par les risques que faisait peser la pandémie, le cru 2022 a donné comme un nouveau départ. Ou plutôt comme un retour, celui des étrangers, venus en nombre. Charente Tourisme confirme que le département, et singulièrement sa frange côtière, a retrouvé ses touristes anglais, belges, néerlandais mais aussi espagnols ». D’après un sondage réalisé par l’organisme, 64 % des professionnels abondent dans ce sens et disent avoir observé une hausse de la fréquentation étrangère dans leurs établissements. Dans le détail, le bilan touristique de l’été montre un surcroît d’activité en août : 88 % des acteurs du marché de l’hébergement et des loisirs se réjouissaient du niveau de leurs chiffres d’affaires enregistré sur cette période, contre 68% en juillet. Sur l’ensemble de la saison, soit de juin à fin août, la part des professionnels satisfaits et déclarant que l’activité de 2022 était supérieure à celle de 2021,grimpait à 80 %.
[...]Les étoiles d’un hôtel représentent un standard contrôlé périodiquement par un évaluateur missionné par le Comité français d’Accréditation (COFRAC). Le contrôle tient compte de plusieurs aspects dont l’entretien et la propreté, les équipements et la qualité des services. Pour les hôtels de 4 et de 5 étoiles, l’accent est mis sur le confort et le contentement du visiteur. Le système d’étoiles aligné aux normes internationales d’hébergement garantit aux touristes français et étrangers le niveau de confort et de prestations d’un hôtel. Cependant, il ne s’agit pas d’hôtels uniquement mais également des logements en plein air et des résidences touristiques. Pour des vacances inoubliables, il est recommandé de prendre en compte les équipements et les services que les établissements hôteliers choisis peuvent vous offrir. L’hôtellerie économique ou de moyenne gamme Les centres hôteliers portant une seule étoile représentent une des solutions les plus économiques. Ils garantissent une chambre de minimum 9 m2 pour deux personnes et des services sanitaires privatifs ou communs. La catégorie suivante, celle de l’hôtellerie de moyenne gamme, comprend les établissements à 2 ou 3 étoiles et répond à des exigences plus complexes. Il est obligatoire d’assurer l’accès à des salons et des espaces communs plus amples et un service de réception de minimum 10 heures par jour assuré par un employé qui peut communiquer également dans une autre langue officielle de l’Union Européenne. Le haut de gamme dans l’hôtellerie Les chambres des hôtels de 4 étoiles ont une surface de minimum 16 m2, et disposent de douches et de baignoires. Toutes les chambres doivent avoir une connexion Internet sans fil et une TV. Une autre condition est d’avoir du mobilier de qualité et de la climatisation. Les hôtels de 2 étages ont un ascenseur et ceux de plus de 30 chambres offrent un accueil 24/24h. Les centres hôteliers de 5 étoiles doivent offrir une gamme de services personnalisés supplémentaires : concierge, accompagnement, roomservice et coffre-fort. Les hôtels de plus de 60 chambres doivent proposer un restaurant dans leur enceinte et d’autres facilités optionnelles, dont la piscine, le spa et le coiffeur. L’Hôtel de France Angers est un établissement de prestige situé près dans le centre-ville d’Angers. Cet établissement hôtelier riche en histoire a obtenu le label européen Ecolabel pour son engagement pour la protection de l’environnement. Il propose des chambres de 19 à 30 m2, avec Wi-Fi et chaînes de télévision par satellite. Pour le petit déjeuner, vous avez la possibilité de commander le roomservice.
[...]Selon les chiffres de l’INSEE, 429 millions de nuitées ont été enregistrées en France en 2017. Une hausse de 5,6 % grâce au retour des touristes étrangers. Avec 429 millions de nuitées enregistrées représentant une hausse de 5,6 %, l’année 2017 a atteint un niveau record. Les hébergements touristiques ont recensé 23 millions de nuitées supplémentaires l’an dernier par rapport à 2016, pour atteindre « un niveau record, bien au-delà des fréquentations des années 2011 à 2016, comprises entre 400 et 412 millions de nuitées », souligne l’étude de l’Insee. « L’année 2017 fait beaucoup plus que compenser le moindre dynamisme observé en 2015 et 2016, consécutif notamment aux attentats de novembre 2015 et juillet 2016 », ajoute l’Insee. L’hôtellerie qui avait particulièrement souffert de la diminution du nombre de touristes étrangers retrouve des couleurs et voit sa fréquentation progresser de 4,9 %.
[...]Pour la 2e année consécutive, Vacances-Campings établit le classement régional des Français et de leurs dépenses au camping : qui sont les Français qui dépensent le plus, quelles sont les régions les plus chères et les plus attractives ? Les habitants d’Ile de France accordent le budget le plus élevé pour la réservation des vacances en mobile-home. Cette année, les Franciliens prennent la première place des Français qui dépensent le plus pour la réservation de leurs vacances en mobile-home. Ils dépensent en moyenne 752 € et relèguent ainsi les Alsaciens à seconde place avec 713 € de panier moyen. Les Corses sont sur la 3e marche du podium avec un budget de 699 €. D’une façon générale, on remarque que les Français qui dépensent le plus sont ceux du Nord de la France (Parisiens, Alsaciens, Nordistes, Picards, Normands, Champenois et Franc-Comtois). Ils rentabilisent leurs vacances et leur trajet en partant plus longtemps. Le Languedoc-Roussillon reste la région la plus attractive Avec des villes comme Argelès-sur-Mer ou Vias, le Languedoc Roussillon conserve sa première place du Top 5 des régions les plus attractives de France. Outre son climat et le nombre record de campings sur son territoire, le Languedoc-Roussillon répond aux exigences des Français avec une hôtellerie de plein air haut de gamme. La Corse, région la plus chère Les Français sont prêts à dépenser beaucoup pour être au bord de la Méditerranée ou de l’Océan Atlantique, et encore davantage pour les eaux cristallines de la Corse. En effet, ils y consacrent y des budgets élevés : 1133 € pour leur mobile-home en Corse, 996 € en PACA et 927 € en Aquitaine. A contrario, l’Ile de France, La Champagne-Ardenne et la Bourgogne restent très économiques avec des paniers moyens oscillant entre 509 et 555 €. Les courts séjours en basse saison ont la côte ! Le panier moyen en basse saison sur vacances-campings.fr est passé de 225 € en 2016 à 321 € en 2017 soit une hausse de 42 %. Cette hausse s’explique notamment par le nombre de ponts cette année ainsi qu’une météo très favorable en mai pour des départs en dernières minutes.
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