Un Français sur deux pense vacances équestres

Les Français aiment le cheval et sont tentés par toutes les activités équestres. Un sondage BVA réalisé à la demande de la Fédération Française d’Equitation montre qu’ils sont 52% à avoir envie de vacances équestres. Des chiffres qui confirment l’engouement croissant des Français pour l’équitation.

La FFE compte aujourd’hui près de 700 000 cavaliers licenciés. Ils étaient 430 000 en 2001, soit une hausse de 60% en 10 ans. Le cheval a le vent en poupe et la montée en puissance des valeurs liées à l’environnement est un facteur de développement de l’activité.

L’équitation s’est hissée à la 3ème place des sports les plus pratiqués en France. Près de 2 millions de personnes montent de façon occasionnelle. Ce sport s’est très largement démocratisé principalement grâce à la politique d’équitation en club. Les frais d’entretien d’un poney ou d’un cheval sont mutualisés par tous les cavaliers qui le montent. C’est ce qui explique qu’un Français sur deux a pratiqué ou pratique l’équitation de façon occasionnelle ou régulière.

De plus en plus de vacanciers à cheval

Le sondage BVA montre qu’1 français sur 2 déclare avoir envie de vacances équestres. C’est la raison de la croissance de ce type de tourisme depuis plusieurs années. Le succès des vacances à cheval s’explique par la diversité de l’offre : stages à thème, promenades et randonnées, découverte de l’équitation éthologique ou d’une des quelques 30 disciplines équestres avec des propositions plus insolites comme équitation et fauconnerie, arts du cirque, Bajutsu ou arts martiaux japonais à cheval..

. Les vacances sont le moment privilégié pour ceux qui n’ont pas le temps pendant l’année de s’adonner à leur passion. La plupart des clubs proposent à leurs cavaliers des stages vacances, soit sur place, soit dans des centres de vacances situés dans des régions propices. La formule de la semaine de stage permet de partager du matin au soir la vie des poneys et des chevaux au sein du club. Les vacances sont aussi l’occasion pour les parents de tester l’intérêt réel de l’enfant à monter à cheval avant de l’engager dans l’activité pour toute l’année. Les vacances servent souvent de détonateur. Il n’est pas rare de voir des enfants demander à s’inscrire à une activité régulière à la rentrée qui suit. 56% des parents interrogés se disent d’ailleurs prêts à inscrire leur enfant dans un centre équestre.

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